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Posos lance la première base de données des médicaments qui s’affranchit de la barrière de la langue

Posos, la medtech qui sécurise les prescriptions médicales de plus de 40 000 médecins, lance sa propre base de données des médicaments, la première à être entièrement compatible avec les standards internationaux et notamment la SNOMED. Ce projet ambitieux, fruit de deux ans de travail, crée un nouveau standard de qualité des soins et permet de réduire considérablement les …

Posos lance la première base de données des médicaments qui s’affranchit de la barrière de la langue
A ce jour, la base de données médicamenteuse de Posos est la seule entièrement encodée en terminologies internationales – SNOMED, CIM-10, MedDRA, ATC – et disponible via des interfaces applicatives (APIs) respectant les protocoles standards d’interopérabilité, lui permettant d’être facilement intégrée aux logiciels médicaux y compris à l’international.

Posos, la medtech qui sécurise les prescriptions médicales de plus de 40 000 médecins, lance sa propre base de données des médicaments, la première à être entièrement compatible avec les standards internationaux et notamment la SNOMED. Ce projet ambitieux, fruit de deux ans de travail, crée un nouveau standard de qualité des soins et permet de réduire considérablement les risques d’erreurs médicamenteuses.

La première base de données des médicaments 100% compatible avec les standards internationaux 

Après trois années de développement, la medtech Posos annonce le lancement de sa base de données médicamenteuse : Posos Medical Data Base. Cette innovation technologique a été rendue possible via l’utilisation de modèles de traitement automatique du langage naturel (intelligence artificielle) – permettant de convertir des textes médicaux en codes d’ontologies médicales – et grâce à l’expertise et le travail éditorial de plus de cinquante pharmaciens et médecins qui ont intégralement structuré dans la base de données les documents texte de l’ANSM (1) ainsi que de l’EMA (2). La base de données médicamenteuse est déjà disponible dans l’outil Posos, certifié dispositif médical.

A ce jour, la base de données médicamenteuse de Posos est la seule entièrement encodée en terminologies internationales – SNOMED, CIM-10, MedDRA, ATC – et disponible via des interfaces applicatives (APIs) respectant les protocoles standards d’interopérabilité, lui permettant d’être facilement intégrée aux logiciels médicaux y compris à l’international.

Concrètement, cette innovation majeure a trois impacts : La finesse d’annotation des données encodées selon les terminologies standards permet d’améliorer la qualité des soins en rendant systématisable à grande échelle le croisement des dernières recommandations de sécurité médicamenteuses avec les données patients, encore trop peu utilisées dans les logiciels, pour générer des alertes pertinentes et personnalisées.

Son architecture moderne sous forme de graphe de connaissance permet d’ajouter très simplement à la base de multiples sources d’informations médicales spécialisées pour garantir une exhaustivité des réponses et une analyse pharmaceutique multi-sources et multi-critères. Cela évite aux praticiens d’avoir à faire des recherches sur plusieurs sites différents pour prendre leurs décisions.

Elle rend possible pour la première fois l’utilisation d’une même base dans tous les pays du monde par les éditeurs de logiciels médicaux qui n’auront qu’une seule base de données à intégrer au lieu de plusieurs bases nationales aujourd’hui. Chaque soignant pourra à terme choisir d’interroger des données médicamenteuses d’autres pays. Avec cette innovation, la medtech Posos s’inscrit à 100 % dans sa mission qui est d’améliorer la prise en charge thérapeutique des patients et de contribuer à réduire les risques de iatrogénie médicamenteuse à l’échelle internationale.

Renforcer la technologie de sécurisation des prescriptions

Entre 2007 et 2018, le pourcentage d’hospitalisations liées à un effet indésirable médicamenteux est passé de 3,6 % à 8,5 %, soit une augmentation de 136 %, alors que 16 % de ces accidents pourraient être évités (3). Ces chiffres témoignent de l’urgence d’offrir aux médecins des outils intelligents et performants capables de leur faire gagner du temps en passant par leurs outils du quotidien. Avec cette base de données médicamenteuse nouvelle génération, Posos veut offrir une performance inégalée dans la pertinence de la détection des risques médicamenteux et la proposition de solutions thérapeutiques.

Cette base de données médicamenteuse propriétaire représente une étape cruciale pour renforcer la technologie de sécurisation des prescriptions de Posos et lui permettre d’amener la médecine vers de nouveaux standards de qualité élevés. Sa simplicité d’intégration dans les logiciels médicaux existants soutient l’ambition de Posos de donner à chaque soignant dans le monde l’accès à un outil fiable de sécurisation des prescriptions, avec les dernières données actualisées nationales et internationales sur les médicaments.

 “Cette avancée est extrêmement importante car elle nous permet désormais d’être totalement indépendants mais aussi d’aller plus loin dans notre mission. Posos permettait déjà aux soignants de bénéficier d’une solution simple et sécurisée, pour prendre très rapidement une décision thérapeutique personnalisée, minimisant les risques, et à chaque étape du parcours du patient. Désormais, avec notre propre base de données médicamenteuse, les logiciels médicaux pourront facilement intégrer un standard de vérification avancée des risques et d’aide à la décision médicale intelligente, qu’importe la langue, et faire bénéficier à tous les soignants à travers le monde d’une solution performante”, explique Emmanuel Bilbault, PDG de Posos.

‍Pour la Pr Corinne Isnard-Bagnis, néphrologue à l’AP-HP : « Cette nouvelle base de données permet d’améliorer le raisonnement médical en intégrant mieux les traitements et plus finement les comorbidités des patients. Il devient plus simple de peser le pour et le contre d’une décision médicale, par exemple un changement de classe thérapeutique en cas de risque médicamenteux, et tester si le nouveau traitement est compatible ou non avec le patient ».

ParLa rédaction
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