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De grands acteurs de la cosmétique font appel à Global Bioenergies pour plusieurs tonnes d’Isonaturane 12

Moins de deux mois après la mise en service de l’unité de production commerciale de Pomacle, Global Bioenergies annonce que plusieurs grands acteurs de la cosmétique, dont L’Oréal, ont passé leurs premières commandes pour un total de plusieurs tonnes d’Isonaturane 12. L’Isonaturane 12 est la marque commerciale déposée par Global Bioenergies pour dénommer son isododécane d’origine naturelle. L’isododécane est l’une des …

De grands acteurs de la cosmétique font appel à Global Bioenergies pour plusieurs tonnes d’Isonaturane 12
Moins de deux mois après la mise en service de l’unité de production commerciale de Pomacle, Global Bioenergies annonce que plusieurs grands acteurs de la cosmétique, dont L’Oréal, ont passé leurs premières commandes pour un total de plusieurs tonnes d’Isonaturane 12.

Moins de deux mois après la mise en service de l’unité de production commerciale de Pomacle, Global Bioenergies annonce que plusieurs grands acteurs de la cosmétique, dont L’Oréal, ont passé leurs premières commandes pour un total de plusieurs tonnes d’Isonaturane 12.

L’Isonaturane 12 est la marque commerciale déposée par Global Bioenergies pour dénommer son isododécane d’origine naturelle. L’isododécane est l’une des grandes molécules de la cosmétique, utilisé aussi bien dans le segment du maquillage, où il est le seul à pouvoir apporter les propriétés de longue tenue, qu’en dermocosmétique et dans les soins capillaires, où il confère légèreté et douceur aux textures. Ce composé, grâce à Global Bioenergies, est désormais disponible en version bio-sourcée, dans le respect de la norme ISO 16128 relative à la naturalité en cosmétique. L’Isonaturane 12 est produit via une filière 100% française s’appuyant
exclusivement sur un sourcing local des matières premières.

Pour L’Oréal, premier actionnaire de Global Bioenergies via son fonds d’investissement BOLD (Business Opportunities for L’Oréal Development) ces premières commandes d’Isonaturane participeront à soutenir les efforts du groupe en matière de naturalité de ses produits de maquillage et s’inscrivent dans le cadre des objectifs ambitieux de son programme de Développement Durable L’Oréal pour le Futur.

Ainsi, Ana KLJUIC, Vice-Présidente R&I L’Oréal for the Future & Green Sciences, explique : «Notre investissement chez Global Bioenergies s’inscrit au cœur de notre engagement d’atteindre 95% d’ingrédients bio-sourcés, issus de minéraux abondants ou de procédés circulaires dans nos formules d’ici 2030. Par sa technologie très audacieuse qui devient maintenant une réalité
industrielle, Global Bioenergies permet au monde de la cosmétique de gagner du terrain dans sa quête de naturalité, et, au-delà de la cosmétique, de participer activement à la transition environnementale».

«Une nouvelle vague de commandes se prépare : à In-cosmetics, le grand salon mondial des ingrédients cosmétiques qui s’est tenu le mois dernier à Paris et où nous avons lancé commercialement l’Isonaturane 12, nous avons mené une centaine de discussions avec des acteurs de différentes natures : marques, façonniers, distributeurs», explique Daphné Glavez, Directrice commerciale de Global Bioenergies.

Pour rappel, Global Bioenergies a développé un procédé de conversion de ressources végétales en une famille de composés utilisés en cosmétique ainsi que dans les domaines de l’énergie et des matériaux. En 2021, le Groupe a accédé pour la première fois au marché en lançant LAST, sa propre marque de maquillage, dont la formulation repose sur un ingrédient clé issu de sa technologie. La Société poursuit le travail d’optimisation des performances de son procédé et d’augmentation progressive de ses capacités de production, afin de fournir ses ingrédients aux grands acteurs de la cosmétique et d’améliorer ainsi la naturalité et l’empreinte environnementale du domaine. Sa technologie est également applicable à la production de plastiques, caoutchoucs et peintures renouvelables. Global Bioenergies porte enfin la perspective de réduire les émissions de CO2 du transport aérien et de contribuer ainsi à limiter le réchauffement climatique.

ParLa rédaction
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