Biogaran fait entrer les médicaments sans ordonnance dans le panier anti-inflation

Selon une récente étude Ifop, alors que 88% des Français ont aujourd’hui recours aux médicaments sans ordonnance, 61% d’entre eux ont déjà dû renoncer à ces médicaments au cours des derniers mois pour des raisons de budget. Biogaran fait campagne à partir du 23 avril en mettant le critère prix au 1er plan, avec une large gamme d’automédication de près de 60 produits proposés à prix serrés dans les pharmacies.
«Les Français doivent avoir le choix, en pharmacie, d’aller vers des alternatives moins coûteuses et aussi efficaces que les marques de référence. Se soigner, avec ou sans ordonnance, ne doit pas être une question de budget. C’est d’autant plus stratégique en cette période où le pouvoir d’achat et l’accès aux soins sont au cœur des préoccupations», déclare Jérôme Wirotius, Directeur Général de Biogaran.

Un recours accru aux médicaments sans ordonnance

Les Français adoptent de plus en plus le réflexe de s’adresser à leur pharmacien pour soulager les maux du quotidien. Le conseil de ce professionnel de santé est central pour 83% des clients qui achètent des médicaments sans ordonnance. Une pratique qui s’est généralisée depuis 20 ans: 88% des Français ont achetés des médicaments sans ordonnance en 2023, selon l’Ifop, contre 58% en 2002. Ils sont utilisés avant tout pour soulager des symptômes bénins qui ne nécessitent pas une consultation (79%). Mais l’étude Ifop révèle aussi que 57% des répondants ont acheté un médicament sans ordonnance parce qu’il aurait fallu aDendre trop longtemps pour avoir un rendez-vous chez le médecin, et 29% parce qu’ils n’avaient pas les moyens financiers pour avancer les frais de consultation.

 6 Français sur 10 concernés par la renonciation aux soins 

En période d’inflation, les produits d’automédication n’échappent pas à la contrainte budgétaire : 6 Français sur 10 affirment avoir déjà renoncé à l’achat d’un de ces médicaments en raison de son prix, soit une proportion qui a quasiment doublé en une quinzaine d’années (61% en 2023, contre 36% en 2009). Un renoncement encore plus marqué chez les plus modeste et les plus jeunes (18 – 24 ans). Pour faire face à la situation, les Français s’adaptent : s’agissant de médicaments non remboursés, ils sont attentifs au prix (70%) plus qu’à la marque (38%) et 88% se disent prêts à privilégier des produits de qualité équivalente aux grandes marques mais à prix inférieur.